Questions fréquemment posées

Si vous n’avez jamais participé au Grand dénombrement des oiseaux de février (GDOF) ou à d’autres programmes pilotés par le Cornell Lab of Ornithology, vous devrez vraisemblablement créer un compte. Nous vous recommandons de créer un compte à l’aide de l’option que comptez utiliser pour participer au GDOF. Voyez notre section Comment participer pour faire votre choix: l’application mobile Merlin Bird ID, l’application eBird Mobile ou eBird sur un ordinateur. Dans chaque cas, vous pourrez créer un compte étape par étape de manière très simple.

Toutefois, si vous préférez créer un compte directement sur le site Web du Cornell Lab of Ornithology, visitez cette page et cliquez sur le bouton «Créer un compte». Assurez-vous de conserver votre nom d’utilisateur et votre mot de passe dans un endroit sûr pour pouvoir vous en servir quand vous ouvrirez une session et ferez la saisie d’une observation ou d’une ou de plusieurs listes d’observation dans le cadre du GDOF.

Non. La saisie des données du GDOF doit se faire en ligne, car il faut fournir une adresse de courriel, qui pourrait servir à la confirmation d’observations qui nécessitent des explications. Pour participer, il faut avoir une adresse de courriel et accès à un appareil mobile ou un ordinateur.

Les populations d’oiseaux changent constamment. Aucun scientifique ni aucune équipe de scientifiques travaillant en vase clos peut espérer suivre les profils complexes des déplacements des espèces dans le monde. L’information fournie par les participants au GDOF, combinées aux données d’autres programmes d’inventaire, aide les scientifiques à déterminer les effets des changements environnementaux sur les oiseaux.

L’information que vous téléversez dans la base peut fournir une première indication de la baisse ou de la hausse des effectifs d’une espèce particulière d’une année à l’autre. Les données récoltées sur de nombreuses années peuvent aider à déterminer si l’aire de répartition ou de nidification d’une espèce se réduit ou prend de l’expansion. Un changement important observé de manière constante sur plusieurs années est une indication que quelque chose se passe dans l’environnement qui a un effet sur les oiseaux et qui doit retenir l’attention. Les données du GDOF nous permettent aussi de savoir quelles espèces d’oiseaux fréquentent différentes régions, par exemple les milieux urbains et suburbains par rapport à des habitats plus naturels.

À l’origine, le Grand dénombrement des oiseaux de février se déroulait aux États-Unis et au Canada en février dans le but de produire un instantané de la répartition des espèces juste avant le début de la migration printanière, en mars. Des scientifiques du Cornell Lab of Ornithology, de la National Audubon Society, d’Oiseaux Canada et d’ailleurs peuvent combiner l’information ainsi obtenue avec les données récoltées dans le cadre d’autres programmes à d’autres moments de l’année. En 2013, on a donné une portée mondiale au GDOF; ainsi les participants contribuent à produire cet instantané où qu’ils se trouvent sur la planète et quelle que soit la saison là où ils sont.

En créant un compte, vous serez certain.e que vos données seront associées à vos observations, et les scientifiques pourront quantifier l’effort de tous les participants, ce qui raffinera leurs analyses. De plus, vous pourrez faire un suivi de vos mentions et listes d’observation. Si vous participez déjà au programme de science citoyenne eBird, il vous suffit de soumettre vos listes d’observation dans eBird pendant le GDOF comme vous le faites d’habitude. Vos données du GDOF seront automatiquement intégrées. Si vous participez à tout autre programme de science citoyenne du Cornell Lab of Ornithology, tel que NestWatch, vous pouvez utiliser votre nom d’utilisateur et votre mot de passe pour vous connecter aux sites Web du GDOF ou d’eBird.

Rendez-vous au site Web d’eBird et utilisez l’outil de création d’histogramme (graphique à barres), à partir de l’option Explorer dans le menu du haut de la page.

1. Sur la page qui s’affiche, cliquez sur l’option Histogrammes et la page suivante s’affichera : https://ebird.org/GuideMe?cmd=changeLocation.
2. Choisissez la région et ensuite la sous-région.
3. Choisissez l’intervalle d’années (si c’est dans la même année, faites comme ceci, par exemple: 2020-2020).
4. Choisissez l’intervalle de mois (par exemple: fév. à fév.).

Vous pouvez également faire une recherche par nom d’espèce:

Sur le site Web d’eBird, après avoir cliqué sur l’option Explorer dans le menu du haut de la page d’accueil, cliquez sur Cartes de distribution sur la page qui s’affiche, choisissez une période d’une semaine à partir du menu déroulant Annuel, Toutes les années indiqué au haut de la page.

Faites de votre mieux pour le découvrir. Voyez si vous pouvez trouver l’oiseau que vous cherchez dans un guide d’identification de terrain. Il existe aussi un certain nombre de ressources électroniques qui peuvent vous aider :

• L’application mobile Merlin Bird ID (disponible en français) indique l’espèce la plus probable que vous observez en fonction de vos réponses à cinq questions.
• Cette application gratuite comprend maintenant la fonction d’identification qui permet de télécharger l’image d’un oiseau et de faire identifier l’espèce.
• L’application mobile Audubon Bird Guide (en anglais) contient des photos et des enregistrement de la voix de plus de 800 espèces d’Amérique du Nord. Elle est gratuite.

Si vous ne pouvez pas identifier une espèce même avec une application mobile, ne vous en faites pas. La liste d’observation peut comprendre des options comme Pic mineur/chevelu, Grand/Petit Chevalier, buse sp. ou Accipiter sp. qui peuvent être utiles dans les cas difficiles. Dans ces exemples, la barre oblique indique que l’une ou l’autre des deux espèces indiquées peut avoir été observée sans qu’il soit possible de faire une identification précise (ci-dessus, il peut s’agir d’un Pic mineur ou d’un Pic chevelu). Dans les deux autres exemples, l’abréviation sp. signifie espèce (non déterminée); ici, «buse sp.» indique que vous avec observé une buse ou un oiseau du genre Accipiter, mais sans pouvoir déterminer l’espèce. Que vous soyez ou non en mesure d’identifier toutes les espèces que vous voyez, veillez à bien comprendre la question «Est-ce que vous signalez toutes les espèces?» (Voir plus bas la rubrique intitulée «Que signifie la question “Est-ce que vous signalez toutes les espèces?ۚ”».

Vous pouvez compter les oiseaux à n’importe quel endroit dans le monde, par exemple dans votre cour arrière, dans un parc de votre localité, dans un refuge faunique, etc.

Passez au moins 15 minutes à chaque endroit. Si vous pouvez passer plus de temps encore à cet endroit, vous aurez une meilleure idée des oiseaux présents dans le secteur. Si vous voulez réaliser plus d’un dénombrement au même endroit ou en réaliser à plusieurs endroits, vous devez soumettre une liste d’observation distincte à chaque fois.

Vous devez signaler le nombre le plus élevé d’individus de chaque espèce que vous avez vus à un moment donné pendant votre période d’observation, ainsi que tout autre individu clairement différent. Par exemple, si vous voyez une mésange qui fait des va-et-vient en direction et en provenance de votre mangeoire, mais que vous n’en voyez jamais plus qu’une à la fois, comptez seulement une mésange. Toutefois, si vous voyez un Cardinal rouge mâle et une femelle faire également des va-et-vient mais pas en même temps, vous pouvez les compter comme deux individus car vous savez qu’il s’agit de deux individus distincts. Et si vous voyez un oiseau qui survole votre site sans s’y arrêter, comptez-le également comme un individu. Nous sommes intéressés d’obtenir une estimation prudente du nombre maximum d’individus de chaque espèce que vous avez vus pendant votre période d’observation. Soumettez une liste d’observation pour chacune de vos périodes/séances d’observation. Vous pouvez compter plus d’une fois au même endroit ou à plus d’un endroit; dans ce cas, soumettez une liste d’observation distincte pour chaque période/séance d’observation et/ou chaque endroit.

Si vous participez au Projet FeederWatch, vous pouvez participer aussi au GDOF. Vous pouvez soumettre vos comptes d’oiseaux du GDOF dans le cadre du Projet FeederWatch. Toutefois, notez que les protocoles de dénombrement sont différents d’un programme à l’autre; vous devez donc veiller à utiliser le bon protocole.

Notre capacité à étudier les populations d’oiseaux dépend de la connaissance exacte de l’endroit où vous faites vos observations. Nous vous demandons d’utiliser Google Maps pour zoomer et pointer l’endroit où vous avez observé les oiseaux aussi précisément que possible. En arrière-plan, la latitude et la longitude de ce lieu sont calculées. Cela nous permettra de faire un meilleur usage de chaque observation que vous soumettez.

Bien que beaucoup de gens participent au Grand dénombrement des oiseaux de février en faisant leurs observations à un seul endroit, nous acceptons également les données recueillies pendant des randonnées d’observation d’oiseaux en groupe, des randonnées pédestres ou des sorties spéciales avec un club d’ornithologie ou un centre de la nature. Chaque fois que vous soumettrez une liste d’observation, il vous sera demandé quel type de dénombrement vous avez effectué.

• Relevé en mouvement – Vous avez observé les oiseaux tout en vous déplaçant à pied ou en voiture (le long d’un sentier, d’une allée pour voitures dans un parc, dans un champ, etc.). Ce sont des dénombrements effectués en observant les oiseaux sur une certaine distance (de préférence moins de 8 kilomètres).
• Relevé ponctuel ou stationnaire – Vousavez compté les oiseaux à un seul endroit, par exemple en surveillant vos mangeoires par une fenêtre de votre domicile.
• Historique – Vous ne pouvez pas indiquer ce type de dénombrement dans le cadre du GDOF, mais vous pouvez le faire si vous faites la saisie dans eBird de données que vous avez recueillies dans le passé mais que vous n’aviez pas encore soumises.
• Observation informelle – Vousavez vu un oiseau pendant que vous faisiez autre chose qu’observer les oiseaux.

Quand vous soumettez vos observations, vous devez aussi entrer l’heure du début et la durée de votre dénombrement ainsi que le nombre de personnes qui ont contribué à établir votre liste d’observation. Choisissez Observation informelle comme type de dénombrement si vous signalez des oiseaux que vous avez observés pendant que vous faisiez autre chose qu’observer les oiseaux ou si vous n’avez pas noté d’information sur l’effort d’observation, comme la durée du dénombrement. Cela peut s’appliquer par exemple si vous observez un Balbuzard pêcheur en vol pendant que vous vous rendez au travail ou si vous entrez des données recueillies dans le passé pour lesquelles vous ne possédez pas d’information sur l’effort d’observation.

Note – Si le système vous indique que vos observations ont été faites dans l’obscurité le soir ou la nuit (observation nocturne), mais que CE N’EST PAS LE CAS, vérifiez dans vos données si vous avez bien indiqué la bonne heure du début de votre dénombrement. Si l’heure est correcte, ne vous inquiétez pas. L’avertissement donné par le système sert tout simplement à vous inciter à faire une double vérification, et le système se trompe parfois dans les heures. Ne tenez pas compte de l’avertissement si vous avez indiqué l’heure du début du dénombrement sans faire d’erreur.

Dans la mesure du possible, les dénombrements en mouvement devraient être limités à des observations dans un seul habitat (p. ex., forêt, désert, prairie à herbes courtes, etc.). Si vous passez d’un habitat à un autre, mettez fin à votre premier dénombrement et commencez-en un autre. Idéalement, un dénombrement en mouvement ne devrait pas être réalisé sur plus de 8 kilomètres. La plupart des dénombrements en mouvement effectués à pied respectent facilement cette limite. Ceux effectués en voiture couvrent habituellement de plus grandes distances; dans ce cas, nous vous demandons de séparer le parcours en segments d’une longueur inférieure à 8 kilomètres. Si vous entrez dans un habitat différent ou si vous franchissez plus de 8 kilomètres, soumettez une liste d’observation distincte pour chaque segment. Par exemple, un endroit où il serait logique de séparer un long parcours en segments serait au point de transition entre la forêt et une terre agricole, car ces deux habitats sont fréquentés par des espèces d’oiseaux très différentes.

Dans le cas d’un dénombrement en mouvement, pointez votre lieu d’observation pour votre parcours ou un segment au point milieu et non au début ou à la fin du parcours ou du segment. Il s’agit de relier les oiseaux que vous signalez à des habitats spécifiques en utilisant des outils de cartographie et de télédétection et des couches SIG. Dans cette optique, c’est en ayant les emplacements les plus précis possibles que les données que vous fournissez seront les plus utiles. Il vaut mieux soumettre plusieurs listes d’observation correspondant à des parcours ou segments plus courts qu’une seule liste pour une zone très étendue ou un parcours ou segment exceptionnellement long.

Note – Lorsque vous revenez sur vos pas après avoir effectué un dénombrement en mouvement, n’enregistrez que la distance parcourue dans une seule direction, mais notez le temps total que vous avez passé à observer les oiseaux en incluant l’aller et le retour.

Commencez par compter le nombre d’individus dans une petite partie de la troupe. Ensuite, estimez le nombre de parties de la même taille que celle-ci qui composent la troupe. Multipliez le nombre de parties par le nombre d’individus que vous avez comptés; ce sera votre estimation. Pour lire une explication plus détaillée de cette technique, rendez-vous à la rubrique «Compter de grandes troupes stationnaires».

Oui, mais seulement si ces oiseaux sont suffisamment près pour que vous puissiez les identifier avec certitude. Cela peut être assez facile dans le cas d’un oiseau seul à courte distance, mais si une bande de goélands passe en vous survolant, vous aurez peut-être du mal à savoir de quelle espèce il s’agit, et encore davantage si c’est une bande d’oiseaux de différentes espèces. Dans ce dernier cas, vous pouvez toujours inscrire «Goélands sp.» sur votre liste d’observation si vous savez qu’il s’agit de goélands mais que vous ne savez pas de quelle(s) espèce(s) il s’agit. (Voyez la réponse à la question «Et si je ne peux pas identifier certains des oiseaux que je vois?» plus haut.)

Beaucoup de gens préfèrent compter les oiseaux quand l’occasion se présente tout au long de la journée plutôt que de le faire dans des intervalles de temps déterminés. Si c’est votre cas, vous devez simplement estimer le temps que vous avez passé au total à observer les oiseaux au cours de la journée. Il se peut, par exemple, que vous ayez observé les oiseaux de temps à autre entre 8 h et 17 h et que vous estimiez à environ deux heures le total du temps consacré à cette activité. Il n’est pas nécessaire d’être exact; nous devons seulement avoir une idée générale de votre effort d’observation.

Inspirés par le succès du Grand dénombrement des oiseaux de février (GDOF), les responsables du Cornell Lab of Ornithology et de la National Audubon Society ont lancé eBird en 2002 pour permettre aux utilisateurs des Amériques du Nord et du Sud d’enregistrer leurs observations d’oiseaux à longueur d’année plutôt que durant les seuls quatre jours du GDOF. En 2010, ils ont donné à eBird une portée mondiale. Et en 2013, le GDOF a fusionné avec eBird, qui intégrait alors des outils plus sophistiqués pour la collecte, l’analyse et la présentation des données. Ainsi, le GDOF offre maintenant des fonctionnalités améliorées, dont les suivantes.

• Archives personnelles – Accédez à l’ensemble des mentions et des listes d’observation que vous avez soumises à eBird et lors des GDOF. Vous les trouverez toutes au même endroit en choisissant l’option de menu «Mon eBird» dans les sites Web des deux programmes.
• Guichet unique – Les années passées, les utilisateurs d’eBird qui participaient au GDOF devaient faire la saisie de leurs données dans les bases des deux programmes pour que celles-ci soient incluses. Désormais, les données peuvent être saisies une seule fois dans une des deux bases et elles seront intégrées automatiquement dans l’autre.
• Partout dans le monde – Vous pouvez soumettre vos données de dénombrement depuis n’importe quel endroit où il y a un accès à Internet. Des portails internationaux et régionaux sont accessibles pour beaucoup de pays.
• Plusieurs langues – Il est maintenant possible d’utiliser neuf langues ou dialectes (sur le site Web d’eBird, mais pas encore sur celui du GDOF): allemand, anglais, chinois, espagnol, français, portugais (Portugal), portugais (Brésil), russe, turc.
• Précision géographique – Des outils de cartographie précis ajoutent une valeur scientifique à vos données en les rendant plus utiles aux fins d’analyse et de conservation et en vous facilitant le suivi des tendances dans le temps.
• Accès toute l’année – Le GDOF est un programme annuel sur quatre jours, mais vous pouvez utiliser vos nom d’utilisateur et mot de passe dans eBird pour faire le suivi de vos observations tout au long de l’année.
• Visualisation améliorée – Des cartes interactives vous permettront d’explorer les observations de façon beaucoup plus détaillée que jamais auparavant.
• Corrections facilitées – En cas d’erreur dans la saisie d’information, vous pouvez revenir en arrière n’importe quand pour corriger vos listes, votre profil ou le pointage de positions.

Non. Le GDOF et eBird sont intégrés, de sorte que vous pouvez faire la saisie de vos données sur le site Web de seulement un des deux programmes, et celles-ci seront versées dans l’autre. Si vous utilisez déjà eBird, nous vous recommandons de continuer de soumettre sur eBird vos données de dénombrement du GDOF.

C’est une des questions les plus importantes. Si vous soumettez une liste complète des espèces que vous avez pu identifier visuellement ou à l’oreille, répondez «Oui». Toutefois, si vous excluez intentionnellement une ou des espèces que vous avez pu identifier, comme le Moineau domestique ou la Corneille d’Amérique, assurez-vous de répondre «Non». La question n’a pas pour but de déterminer si vous avez pu identifier chaque oiseau que vous avez vu, mais plutôt de déterminer si votre liste contient seulement quelques points saillants ou si elle est un compte rendu exhaustif des espèces que vous avez vues ou entendues. Cliquez sur «Oui» pour indiquer que votre liste inclut toutes les espèces que vous avez pu identifier et cliquez sur «Oui» également si vous avez vu ou entendu des oiseaux que vous n’avez pas pu identifier.

Les rapports d’observation d’oiseaux qui sont en dehors de leur aire habituelle ou d’observation d’importantes troupes d’oiseaux de certaines espèces sont marqués en vue d’un examen ultérieur par un réviseur de la région avant que les données soient rendues accessibles au public. Si le réviseur se pose des questions sur votre observation, il communiquera avec vous. C’est comme cela que nous essayons de garantir l’exactitude maximale des données. Toutefois, si une de vos observations est ainsi marquée et que le réviseur ne l’a pas retenue, celle-ci demeurera quand même toujours visible dans votre compte du GDOF et/ou d’eBird.

Quand vous faites la saisie de votre liste d’observation du GDOF, le système vous demande d’indiquer combien de personnes ont contribué à établir la liste. Une seule personne doit faire la saisie des données. Une fois cela fait, vous pouvez partager la liste avec les autres membres du groupe en cliquant sur la mention «Partager cette liste avec d’autres observateurs» dans la colonne de droite de la page de la liste. Les autres membres du groupe peuvent modifier leur version de la liste une fois qu’ils l’ont acceptée (pour ce faire, ils doivent évidemment avoir leur propre compte dans le système du GDOF et/ou eBird). Les oiseaux qui figurent sur plus d’une liste ne seront pas comptés plus d’une fois pour le site d’observation en question.

Pour obtenir de plus amples renseignements sur les façons d’effectuer des dénombrements en groupe, consultez la page Instructions – Dénombrements en groupe.

Vous pouvez aussi partager vos listes d’observation en utilisant l’option «Gérer mes listes d’observation» sur la page Mon eBird ouverte à partir du menu sur le site Web du GDOF ou d’eBird.

Oui. Vous devez soumettre une liste distincte pour chaque nouveau site d’observation, même si c’est pendant la même journée. Par exemple, vous pouvez faire un dénombrement dans votre cour puis vous rendre à un parc de votre localité et ensuite à un refuge faunique. Ainsi, vous soumettrez trois listes d’observation distinctes. Vous pouvez également soumettre plus d’une liste pour différentes séances d’observation au même endroit dans la même journée. Par exemple, si vous passez une heure à observer les oiseaux le matin et une autre heure en soirée au même endroit, il est plus utile de soumettre deux listes d’observation différentes qu’une seule combinant les deux séances d’observation.

Oui, vous pouvez joindre des photos et des enregistrements sonores à votre liste d’observation. Ils seront versés également dans les archives de la Bibliothèque Macaulay au Cornell Lab of Ornithology. Il est particulièrement utile de joindre des photos si vous observez une espèce rare ou inhabituelle. Apprenez comment verser des photos et des enregistrements sonores.

Vous aurez toujours accès à vos rapports du GDOF et vous pourrez toujours y retourner pour corriger des erreurs ou des omissions. Pour apporter une correction, connectez-vous à votre compte et cliquez sur «Mon eBird». Ensuite, cliquez sur «Gérer mes listes d’observation» dans la colonne de droite. Vous pouvez alors faire défiler votre liste et apporter la ou les modifications souhaitées. Vous pouvez également choisir l’option «Gérer mes sites d’observation» pour apporter des modifications à vos sites d’observation déjà enregistrés dans la base.

Si vous versez des données sur le site Web du GDOF et que vous avez observé une espèce qui ne se trouve pas dans la liste d’observation préétablie pour votre région, choisissez l’option «Montrer les espèces rares» dans la colonne de droite. Vous pouvez également utiliser l’outil de recherche «Aller à…». Si vous ne trouvez toujours pas l’espèce en question, rendez-vous au site Web d’eBird (ebird.org), versez-y votre liste et cliquez sur le bouton «Ajouter une espèce» pour ajouter l’espèce à votre liste. Les espèces que vous ajoutez à une liste d’observation et qui ne figurent pas sur la liste principale ou la liste des raretés pour votre région nécessiteront une confirmation par un réviseur avant qu’elles soient versées dans la base de données. C’est une étape normale de notre processus visant à garantir l’obtention de données de la plus haute qualité.